vendredi 20 juillet 2018

9 Av, La réparation de la Malkhout



La Réparation de la Malkhout ( la Royauté )


La conduite de la Dualité et la conduite de l'Unité.

Il est possible d'expliquer les événements par le prisme de la récompense et de la punition où le Bien vient par l'acte positif que j'ai accompli et où le Mal vient par l'acte négatif que j'ai accompli. 
C'est d'après le Ramh'al, le chemin du bien c'est-à-dire la direction de l'accomplissement du bien où Dieu crée le monde pour lui prodiguer le bien. C'est une direction que Moshé définit ainsi:'' tous ses chemins sont jugement, c'est un Dieu intègre où il n'y a pas de faute, il est juste et droit''. Cette perception est appelée la ''conduite du jugement'', la conduite de l'arbre de la connaissance du bien et du mal où l'homme est le centre de la création. 
Mais il y a une autre direction, la conduite de l'unité, la conduite de l'arbre de la vie éternelle où Dieu agit selon sa volonté, indépendamment des actes des hommes, ''je frappe et je guéris'', où Dieu est le centre de la création. 
Quel est le sens à cette conduite? 
Il est évident qu'il y a un but à cette conduite: la réparation de la création qui passe par la perfection des créatures afin de pouvoir recevoir son unité. Ce sont les deux chemins que le Ramh'al explique dans DAAT TEVOUNOT et dans DEREKH HACHEM.

La perception du mal comme élément fondateur de ces deux voies.

La conduite du jugement (coté de la Gévourah) est la conduite des prophètes qui vont diriger ainsi le peuple. Mais cette manière de gouverner ne va pas tant que cela exceller car le mal est résistant. Cette conduite ne peut amener l'homme à la perfection et donc à la réparation du monde car par cette conduite soit le mal disparaît soit il est sous la domination du bien mais cela reste dans une perception duelle. Dieu en réalité veut que le mal se transforme en bien afin de percevoir que la royauté divine est partout. Nous ressentons l'exil de Yishmaël comme une grande plaie. Le Zohar prédit qu'à la fin des temps, Yishmaël va réveiller de grandes guerres dans le monde.


Le mal en tant que révélateur de l'unité divine.

Nous pouvons voir Yishmaël comme un moyen de nous ramener à Dieu en nous tournant vers lui pour qu'il nous sauve. Mais selon la conduite de l'unité même Yishmaël a une part comme le mal en lui-même, a une part dans la réparation du monde. Il est là aussi pour révéler l'unité divine. Il n'y a aucun acte ou événement qui apparaît dans le monde qui ne vient pas réparer et révéler l'unité divine. Même si extérieurement les actes apparaissent être le contraire de la providence divine qui est le bien parfait comme la situation du juste qui souffre ou du méchant qui est heureux. Cette perception est due à la conduite du jugement où tout semble aller selon une justice causale où le bien entraîne le bien et le mal entraîne le mal.
Même Moshé Rabbénou ne comprenait pas cette conduite lorsqu'il voyait le peuple souffrir « pourquoi fais tu du mal à ce peuple?»
 ''Zéïr Anpin'', le ''petit visage'' étant le mystère de cette conduite. Dieu est droit mais derrière cette conduite où le jugement en est le moteur.
Mais, il y a une autre conduite qui est celle de la révélation de l'unité divine qui doit passer par l'expression du mal afin de le faire revenir au bien. Dans la perception humaine, le bien doit triompher du mal, il doit le vaincre et le soumettre. C'est la perception de la dualité qui amène à cette perception, la voie de l'arbre de la connaissance du bien et du mal
Moshé est la réparation de la connaissance, du DAAT de même que le Messie. Le premier homme, par sa faute a détérioré cette faculté qu'est le DAAT jusqu'à ce que vienne Moshé Rabénou qui a fait descendre la divinité dans ce monde de la matière par l'intermédiaire de la Torah. Celui qui se plonge dans la Torah, se colle à Dieu. La Torah étant une partie de l'existence divine. Moshé a créé le lien du bas vers le haut. Aucun homme n'a pu arrivé à son niveau. Même les patriarches ne faisaient que recevoir la révélation divine, ils ne répondaient pas à Dieu car il y avait une imperfection dans le DAAT. Yishmaël reçoit du haut vers le bas mais non le contraire car il n'a pas de DAAT. ''restez ici avec l'âne''

La connaissance vraie passe par la foi.

Nous éclaircissons notre foi par le DAAT comme il est dit ''EMET VÉ ÉMOUNA'' ''la vérité et la foi''. Il faut une révélation de la Torah vraie afin de ressentir la foi.
''je suis HACHEM et je fais tous ces actes'' et donc même le mal c'est Dieu qui le programme, c'est lui qui le réalise, qui le fait exister. 
Le mal est capable de détruire l'existence, il est capable de refroidir tous les enfants d'Israël dans leur service divin. Alors il est possible de croire que le mal est une force indépendante, croire au SATAN une force que Dieu a créée et qui s'est révoltée, dirigeant lui-aussi le monde. Et tout le travail de l'homme serait de le combattre afin de l'éradiquer. C'est cela la croyance des musulman. 
Chez les juifs, ce n'est pas ainsi. La foi dans l'unité nous révèle qu'il n'y a pas de place pour le SATAN. C'est JOB qui a révélé la notion du SATAN.
 Dans la Torah, il n'est pas mentionné la notion du SATAN. Il est vrai qu'il y a une force qui s'appelle le mal mais dire que celle-ci a une indépendance, une autonomie est une erreur. C'est un chien méchant mais qui a toujours une laisse. Et c'est cette chaîne qui va augmenter ou diminuer les accusations. L'autre côté se trouve surtout dans la bouche, c'est le serpent, la mauvaise langue. Il n'a pas d'autre force et c'est Dieu qui lui donne la force. Il n'a aucune autonomie.
Nous devons réveiller notre foi en Dieu telle que nos sages la définissent. 
Quelle est la nature même de notre foi? 
Quelle est la différence entre la foi des nations et notre foi? 
Notre foi est singulière car Dieu nous a donnés un service divin spécifique à la réparation du monde. Mais les nations aussi ont une réparation à faire mais celle-ci se fait par la voie qui s'appelle la voie du bien et du mal uniquement, par des épreuves et des souffrances. Il n'y a pas une créature qui n'est pas là pour réparer le monde. Mais Dieu nous a donnés le Shabbat et la Torah, la voie de la sérénité. C'est la différence, c'est le chemin de la réparation qui se fait avec conscience. Notre travail est la réparation de manière consciente:''EMET VÉ ÉMOUNA''. Pour cela, il faut se connecter à tout événement, il faut que chaque action soit pour nous une Mitsva. Chaque acte (fait en pleine conscience) doit être un moyen de se rapprocher de la présence divine. 
Les nations n'ont pas cette proximité divine, elles peuvent servir Dieu en tant que ''serviteur'', agir en tant qu'esclave, étant soumises tout en état dans une conscience séparée de lui mais elles ne peuvent faire le service du roi. Israël fait son travail, nous sommes ses envoyés comme il est dit ''l'envoyé est comme l'envoyeur'', devenant UN avec lui. Dieu a créé le monde manquant, imparfait et c'est NOUS qui devons le rendre parfait, le compléter.
C'est ce qu'il faut maintenant expliquer:
 la réparation de la royauté, de la MALKHOUT, la réparation de la Chékhina, de la présence divine. Il y a un niveau que le maître du monde n'a pas réparé comme le verset enseigne ''que Dieu a créé pour faire'' il a créé le monde incomplet et c'est à l'homme de le compléter, de compléter ce niveau qu'est Shabbat, le mystère de la MALKHOUT en transformant tous nos actes profanes en actes divins.
 L'homme dans la plus grande majorité de sa vie n'agit que par intérêt personnel et même ses Mitsvot sont de l'ordre du profane car mues par un intérêt personnel. Nos sages nous enseignent le contraire non seulement que nos Mitsvot sont mues par un désintéressement total mais mêmes nos actes profanes aussi: manger, travailler, dormir deviennent des actes divins. 
Et pour cela, il faut dominer les pulsions du corps pour faire dominer l'âme sur le corps: les actions du corps étant réveillées par la Néchama et non par le corps. Manger non pas parce que le corps le désire mais afin de révéler la présence divine dans ce monde par l'intermédiaire de la bénédiction, de la mastication, de la digestion....
il ne faut pas percevoir que manger est un moyen pour que le corps soit fort afin de servir Dieu, dormir afin d'être en forme le matin car ceci n'est qu'un moyen pour arriver au bien mais l'acte lui-même n'est pas en lui-même bien et si le corps pouvait se passer de manger ou de dormir, il faudrait alors s'en passer.
 Et c'est ce que le Ramh'al explique sur la différence entre
 le pur (celui qui mange pour les besoins du corps) et 
 le saint (celui qui mange alors que le corps ne réclame plus rien).
 Pour le pur, la matière est obligatoire pour vivre mais le saint perçoit la matière différemment. Manger boire dormir sont des actes divins, ce sont des actes qui vont permettre à Dieu de se révéler dans ce monde, dans MON monde. Mon corps devenant une partie d'un corps universel qui est mu par une force qui se révèle dans toute la création. Et alors il n'y a aucune différence entre manger et mettre les Téphilin pour celui qui a sanctifié son corps.
Mais celui qui est d'un niveau moindre mais qui a quand même purifié son corps, celui-ci a toujours des pulsions spécifiques et il faut les combler en mangeant en buvant et en dormant. À ce niveau, ses actes ne sont pas de l'ordre d'une Mitsva telle que la Torah nous la définit. Ces actes sont toujours commandés par le corps bien qu'il les dirige vers Dieu.
 C'est la voie du bien et du mal où tout acte est réalisé avec un intérêt matériel. 
Le véritable service divin est le dévoilement de la Malkhout divine dans ce monde et ceci passe par tous nos actes, en arrêtant nos moindres pensées issues d'une illusoire autonomie qui ne sont en fait que la matérialisation d'une domination du corps sur l'âme. Lorsque je mange, je réveille en moi l'énergie divine. Lorsque je dors, je révèle le divin d'une autre manière que lorsque je suis éveillé. Ce travail de la nuit ne peut se faire tout le reste de la journée. Même dans l'inconscience du sommeil, Dieu est présent et celui qui arrive à s'extraire de la conscience de ses sens, il pourra alors s'éveiller dans une conscience universelle au-delà du corps.
 Selon les Mékoubalim, même dans le sommeil lorsque les yeux sont fermés, il y a une lumière divine qui s'occupe de l'homme qui est le Kéter supérieur, le CHEM AB, le nom divin dont la valeur numérique est 72 qui est dans le mystère de la grande réparation qui se fait au moment du sommeil. 
La lecture du Shéma du coucher est même plus forte que la lecture du Shéma du matin. La force du Shéma du matin vient de sa préparation à la AMIDA. La lumière de la nuit vient du nom de 72 et de même que quelqu'un qui dort est sûr d'être vivant ainsi celui qui est mort est toujours vivant.
 Mais en vérité même éveillés nous sommes dans un état de mort clinique car en exil, la Néchama n'agit pas, elle est complètement anesthésiée par les pulsions du corps et un corps sans âme est un corps mort. (voir article sur la non hypnose ou la transe hypnotique)
Nous parlons du niveau de Néchama qui était éveillée au temps du temple construit. Au moment de la destruction du temple a été annulée la prophétie car les Néchamot ont été annulées. 
Tout ce que nous percevons maintenant ne provient que de notre intellect qui construit des logiques à partir des sens. Alors nous n'atteignons que la forme extérieure, la couleur et l'image qui nous est transmis par nos sens, par notre perception sensitive mais si nous utilisions l'intellect pur alors nous percevrions la véritable forme intérieur divine.

Par la Torah du YIH'OUD, de l'unité du Ramh'al et de la Torah de la Kabbale du Ari Zal et du Zohar de Rabbbi Shimon bar Yoh'aï, la lumière divine va de nouveaux éclairer et nourrir les âmes. Cette lumière atteint et n'atteint pas. Cette lumière n'arrive pas directement à la Néchama si nous la réveillons par la Torah et les Mitsvot car notre esprit est faible. Mais si nous réveillons notre conscience par une étude approfondie de la foi en un Dieu unique, dans la voie de l'arbre de vie qui nous plonge dans une Unitude totale, alors nous atteindrons la sainteté et nous aurons une perception des secrets de la création et de la providence divine.
 Il n'y a pas de moment où un homme ne peut percevoir cette perception des mystères de la création. Ils sont devant l'homme à tout moment de sa vie et alors il vivra cette unitude de manière parfaite. La Torah du Ramh'al est la voie de la vie, il comprendra par cette voie comment se construit le monde. La foi dans l'unité divine n'est pas une simple philosophie, elle ne peut être perçue par la voie de la dualité, par la voie de la connaissance du bien et du mal, par le chemin de la récompense et de la punition, par le chemin de la limite. 
La foi dans l'unité est droite sans atermoiement. Il n'y a aucun doute dans le Zohar, dans la Kabbale, dans la foi. Le Ari Zal dit que la Torah orale se révèle par l'intermédiaire des âmes qui s'appellent la ''génération des dispersés'' et la Torah écrite par les âmes qui s'appellent la ''génération du déluge''. Les âmes de la génération du déluge vont être réparées au temps de Moshé par ces âmes qui ont été noyées dans le Nil, Noah étant Moshé. La corbeille de Moshé et l'arche de Noah représentent le même niveau de Malkhout qui protège cette même âme qui va être l'âme du Messie. La génération de la dispersion est la génération de la dispute avec Dieu et qui va être réparée par la génération de la dispute dans la Torah. Il y a par la dispute du Talmud une réparation de la dispute contre Dieu. Cette réparation se fait par le DAAT, la connaissance mais cette connaissance sans la foi n'est rien, c'est Essav qui est devenu un élohim, un dieu. Il faut devenir comme un animal dans la connaissance, annuler sa connaissance pour la mettre au service de Dieu et ceci passe par la foi.
 Le Ramh'al explique que les âmes qui réparent ce monde sont du niveau des six mesures, des six Séphirot inférieures, les six principes de la création, les six premiers jours mais sans la Malkhout qui est représentée par le septième jour, le jour du Shabbat, alors la réparation ne peut arriver à son but. 
Les six ordres de la Michna représentent la réparation des six principes inférieurs mais ceci, il faut le diriger par l'unité vers le Shabbat qui est le grand principe de la Malkhout. Celui qui s'occupe des six principes sans les diriger vers le Shabbat, mourra car il l'aura profané. Il n'aura pas relier les forces de ce monde à sa source divine. La faute montre que l'homme veut utiliser les six principes, veut vivre les six mille ans de ce monde. 
Lorsque le temple était construit, tous les jours étaient du niveau de Shabbat, le chemin du repos, de la sérénité. C'est le niveau de la Malkhout. Il y a des Néchamot qui viennent pour la réparation du Shabbat. Elles viennent réparer l'unité divine par le moyen de la ÉMOUNA, par le moyen de la foi, par la voie de la Malkhout. Et il y a des Néchamot qui viennent pour réparer le monde par la voie de la récompense et de la punition. C'est la différence qu'il y a entre les six principes et la Malkhout. 
Par quelle manière réparer la création? 
Soit par le travail dans ce monde, la voie de la causalité où mon acte est le déclencheur soit par la Malkhout où Dieu est omniprésent et où mon acte n'est autre que son acte. Mon travail étant de raccorder ma conscience à sa volonté. C'est le travail du Tsadik d'après le Zohar. Les autres peuvent devenir des justes mais la majorité du temps, ils vivent dans cette impression de ''c'est ma force et la puissance de mes mains qui me font vivre'' et même s'ils ne le disent pas mais leurs actes montrent cette perception de la vie. La voie de la ÉMOUNA est tout autre. La force de cette ÉMOUNA est au-dessus de la H'okhma, elle se trouve dans le Kéter et alors se révèle l'acte de la ÉMOUNA, le renforcement de la lumière sur les Néchamot.
H'okhma est l'association de deux mots ''Koah' Ma''''la force est quoi?'' 
la sagesse est dans la compréhension que notre force n'est rien.
 Le mot ''Guéoula'' ''délivrance'' a la même valeur numérique que le mot ''Ma'' ''quoi'' de 45. c'est-à-dire que la délivrance ne se révélera que par le fait que nous percevions que notre force ne vient pas de nous.
La réparation de la Malkhout ne va se faire que par le travail des Néchamot. C'est cela la fonction de la réincarnation d'après le Ramh'al dans la voie de l'unité. Alors que dans la voie de la récompense, la réincarnation a pour but de réparer nos fautes. Nous ne comprenons que cette voie de la dualité. La voie de l'unité n'étant pas une voie facile car elle ne nous concerne pas de manière spécifique. Mais selon cette voie, nous sommes ici pour réparer la Malkhout. Nous nous réincarnons pour révéler la gloire divine. Tout ce que crée Dieu, il ne le crée que pour sa gloire, pour rien d'autre. Et c'est par nos actions que nous pouvons exprimer cette gloire. Nous ne devons rien espérer de Dieu, c'est cela la voie de la Émouna.
Notre seule espérance est qu'il se dévoile et par cela, nous n'existerons plus en tant qu'existence individuelle. Sa royauté passe par notre annulation. Tant qu'un être ressentira être séparé de Dieu, la gloire divine ne sera pas complète dans le monde et c'est cela la souffrance de la Chékhina. Lorsqu'un homme essaie de ressentir qu'il n'est rien que la volonté divine c'est cela la gloire de la Chékhina. S'occuper de réparer la Chékhina dans le monde est le plus beau des travaux. Ressentir la souffrance de la Chékhina est un niveau extrême dans la connaissance divine. Nous devons nous soucier que toute créature reçoive la royauté divine sur elle.
Ceci passe par la réparation des six principes inférieurs et non de la Malkhout. La notion du mal commence par la séparation des six Séphirot d'avec la Malkhout. Le côté masculin est représenté par les six Séphirot inférieures et le côté féminin par la Malkhout. Les six jours de la semaine sans le Shabbat est une aberration. La réunion de ces deux principes masculin et féminin est la complétude, la Malkhout devenant le Kéter, la royauté devenant la couronne. La sérénité ne se réveille que par l'adhésion à Dieu et c'est cela Shabbat, c'est la Malkhout qui s'unit aux six Séphirot. Nous devons espérer un monde entièrement Shabbat. Le temple est Shabbat. Les travaux du temple sont liés aux travaux de Shabbat. Le sang des sacrifices est la réparation de l'écorce qui est représentée par Essav et la graisse des sacrifices est la réparation de l'écorce qui est représentée par Yishmaël. C'est cela la puissance du temple, la réparation de toutes les créatures de ce monde. Les quatre niveaux de la création étaient représentés dans le temple: le minéral, le végétal, l'animal et l'humain. C'est le chemin de l'unité mais il y a aussi le chemin de la connaissance, de la souffrance, de la guerre, de la subsistance... et même dans le sacré, il y a ces deux voies, la voie de la connaissance et la voie de l'unité.

av Mordékhaï Chriqui 5778
Retranscription Rav Michael Smadja
Publie par la Source des sagesses


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